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Les routes de la can de l'Hospitalet et des alentours
Pour des raisons topographiques et géographiques, la can de l'Hospitalet a toujours été un endroit très employé pour circuler, localement et interrégionalement. D'une certain manière, la can est une route, avant d'être un territoire sur lequel on s'installe. Certes, commes tous les causses, elle est pratique, utile, mais tout de même dangereuse en raison des hivers rigoureux et de l'insécurité qui y régnait !
De grands itinéraires l'ont traversée à toutes les époques (les drailles, les chemins muletiers, la route des Gabales, le chemin de Valleraugue...) et ont fait de la can un carrefour important, sur lequel se sont érigées des installations humaines dédiées à la communication : l'Hospitalet, le château de Terre rouge, le péage du Rey, les auberges de Nozière, Saint Laurent...
Un seul itinéraire d'importance régionale existe encore aujourd'hui : la Corniche des Cévennes, qui s'est établie sur le tracé de la draille. Mais on y trouve quelques itinéraires secondaires, comme la Cardinale
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11/04/2008
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A lire dans cette rubrique |
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| Les drailles.
Les drailles, ou dralhas en occitan, sont des itinéraires utilisés pour faire "transhumer" les troupeaux de moutons mais aussi parfois de vaches, c'est à dire les faire monter dans les alpages d'altitude pendant la saison chaude |
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| Les chemins de la farine.
Chaque hameau de la vallée du Tarnon a son "hameau d'estive" sur le causse Méjean. Le chemin de la farine permet d'aller de l'un à l'autre. |
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| Le contournement de Peyreficade.
Depuis longtemps, les autorités avaient le désir de permettre aux voyageurs d'éviter
la can de l'Hospitalet par temps de brouillard ou de tourmente.
En 1787, le sieur Boissonade, directeur des travaux publics du Gévaudan, propose un itinéraire
de Mende |
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