Grallator giganticus, le plus grand dinosaure de l’univers connu. Les Cévennes, terre de tous les records !

Une nouvelle espèce de dinosaures a été découverte en Lozère, et pas de moindres puisqu’il s’agit tout simplement de la plus grosse espèce du Monde, et même de tout l’univers connu, très loin devant les diplodocus.

Cette découverte magnifique est une fois de plus à attribuer à l’infatigable chercheur cévenol indépendant M.L., qui avait déja été crédité de l’identification du Causse Méjean comme vestige érodé de la plus haute montagne du système solaire, et a récemment apporté une explication convaincante à la situation plafonnesque des empreintes de dinosaures de la grotte de Castelbouc.

ML a été le premier à noter la ressemblance frappante qui existe entre la forme de la Can de l’Hospitalet et celle des empreintes « Grallator minusculus », que l’on trouve un peu partout en vallée du Tarnon (et notamment sur le site touristique de Saint Laurent de Trèves). La bordure méridionale de ce plateau calcaire, qui s’étend au dessus des villages de Rousses, Bassurels et du Pompidou, présente en effet dans sa partie sud trois pointes rocheuses qui s’avancent au dessus de la haute vallée Française. Il s’agit respectivement de la pointe de Peyre-Agude à l’ouest, du Causset des Crottes au centre, et d’une pointe sans nom mais bien individualisée dans le paysage, proche de la ferme de la Borie, à l’est. La partie nord du plateau, en revanche, ne présente aucune excroissance notoire.

La partie sud de la Can de l’Hospitalet et sa ressemblance avec l’empreinte Grallator minusculus

M.L. fit donc, sur la base de cette observation, l’hypothèse que cette forme à trois pointes était l’empreinte de la patte tridactyle d’un dinosaure géant. Les idées les plus simples sont souvent les meilleures.

Cette empreinte mesure 3,85 kilomètres du talon à la pointe, c’est à dire approximativement 10.000 fois la taille de l’empreinte de notre Grallator minusculus bien connu. La hauteur de ce dernier étant d’environ 10 fois la longueur de son empreinte, une simple multiplication nous donne la taille de notre animal : 10 x 3,85 = 38,5 kilomètres de haut. Sacré bestiole donc, qui mérite largement la dénomination de Grallator giganticus (Gg, ou plus affectueusement Gégé) que lui a attribué ML.

Où allait Gégé le jour où il a posé le pieds sur notre beau territoire ? Le savait-il seulement ? Ce sont les passionnantes questions sur lesquelles M.L. va maintenant travailler. On est impatients. Mais ML nous livre déjà quelques informations livrées par l’empreinte.

Quelques données déduites de l’observation

L’empreinte de Gégé apparaît en positif, alors que les empreintes de Grallator minusculus observées dans les environs sont généralement des négatifs. Rien d’étonnant à cela, affirme ML, qui ajoute : « Il ne faut pas perdre de vue l’échelle gigantesque à laquelle nous travaillons ici : tout est question de masse ! ». Et il explique : la pression exercée par le poid phénoménal de Grallator giganticus (environ 10 puissance 8 tonnes) a comprimé les couches superficielles de calcaire jusqu’à transformer leur structure physico chimique en un complexe lamino-calcaire beaucoup plus dur que les calcaires dolomitiques d’origine. Au cours des millions d’années qui ont suivi, l’érosion a décapé les surfaces alentour sans parvenir à égratigner cette surface, qui apparait aujourd’hui comme un point haut du paysage. C’est le phénomène bien connu de l’inversion de relief (observé par exemple sur les vieilles coulées de lave des volcans du massif central).

A 38 kilomètres d’altitude, la tête de Gégé émergeait largement des couches denses de l’atmosphère terrestre, on peut en déduire qu’il devait probablement avoir un orifice respiratoire situé plus bas sur le cords, peut-être même au niveau des pattes ou des jambes.

On peut observer que la bête était au repos, car le talon était posé. Il a donné naissance au Serre de Montgros (1111m d’altitude).

L’enjambée de Gégé était d’une dizaine de kilomètres. Il sera donc sans doute possible de trouver les empreintes précédentes et les suivantes du trajet de Gégé, probablement aux alentours des Puechs des Bondons et du Mont Aigoual, selon la direction de progression.

ML a identifié une densité très élevée de champignons dans les deux vallons qui séparent les doigts, prouvant que Gégé avait des mycoses palmaires. Les chasseurs de champignons des environs lui doivent une fière chandelle.

Quelques pistes de recherche à approfondir

Par quel miracle le souvenir de Gégé a-t-il pu attendre l’arrivée des hommes sur la terre, des millions d’année plus tard, c’est encore un mystère. Car cet animal extraordinaire est très probablement à l’origine du mythe de Gargantua, bien connu dans les environs. Sinon, qui d’autre ? Un travail passionnant en vue pour les anthropologues, et en particulier les spécialistes des grands mythes.

En plusieurs points de sa surface, la Can de l’Hospitalet présente des empreintes de Grallator minusculus. Nous avons donc affaire à des empreintes de dinosaures imprimées sur une empreinte de dinosaure. Rien ne permet de douter que notre empreinte de Gégé soit elle-même imprimée sur l’empreinte d’une autre espèce, encore 10.000 fois plus grande. Elle mesurait donc probablement 400.000 kilomètres de haut, soit la distance Terre-Lune. La lune elle même en est peut-être un morceau (un oeil fossilisé ? D’ailleur, on parle d’orbite lunaire, ce qui pourrait être un signe). Un tel animal mériterait sans peine le nom de Grallator Titanosaurus (GT). L’espèce suivante, sur la trace de laquelle repose GT, mesurerait 4 milliards de km, le système solaire ferait tourner dans l’espace tous les débris de son corps.

Inversement, il serait intéressant d’observer les traces de nos Grallator minusculus à la loupe atomique pour y détecter des empreintes de Grallator d’une espèce encore inconnue, 10.000 fois plus petite, puis une autre espèce 100 millions de fois plus petite, etc… ML ne disposant pas d’un tel outil, réservé aux grands laboratoires subventionnés alors que lui même est un chercheur indépendant dénué de tout moyen, ce qui ne l’empêche pas de faire beaucoup de découvertes très intéressantes, ce qui laisse perplexe quant à la manière dont est gérée la recherche en France, donc ML ne peut pas réaliser cette observation lui même, sa loupe la plus puissante ne grossit que 4 x, il a jeté un oeil et cru apercevoir un truc prometteur, mais il ne peut pas être certain, donc en bon scientifique il ne fait pas d’affirmation gratuite, mais franchement quand même ça semble très probable qu’il ait raison.

En conclusion, élargissons encore les perspectives en remarquant que de cette dernière découverte, et des précédentes recherches menées par le Professeur ML, il commence à émerger une une méta-question, dont les implications sont vertigineuses : pour quelles raisons la Lozère est-elle le territoire de tous les records ? Qu’est ce qui marque le territoire dans ce sens.

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