Art brut, land-art, comment dire ?

Les Cévennes inspirent les artistes. Peut-être pas seulement les artistes, d’ailleurs. Il n’est pas rare de croiser, loin de tout chemin, une oeuvre, pérenne ou temporaire, que personne ne peut voir, à part d’éventuels baroudeurs comme vous et moi qui les découvrons lar hasard.

En voici quelques-unes :

Des dizaines de cairns sur l’enceinte protohistorique de la Rode à Drigas (Causse Méjean)
Un bas relief sur un chaos granitique du mont Lozère. L’artiste a joué avec la faille transversale, laissant penser que le visage avait été déformé par les mouvements tectoniques du terrain.
Au dessus des Chabrières (Versant sud du Mont Lozère)
Des tours de pierre sur le Fromental au dessus de la Grand-Ville (vallée de la Mimente). Peut-être de la même main que les précédentes ? L’auteur en a t-il réalisé d’autres ?

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